-La vie (palpitante) de Juliette Dawson-

-La vie (palpitante) de Juliette Dawson-

Que dit un rouleau de PQ deguisé en dark vador ? . . . . . . J'essuie ton père.

Hey! Un nouvel article :)

 

Et voilà, la même routine qui reprend, les mêmes choses faîtes aux mêmes moments: le lever, le petit-déjeuner, le départ pour la bagne, enfin le bahut, les mêmes textos me demandant où je suis, les mêmes conversations sur les devoirs et les profs....

J'ai l'impression que ma vie est réglé comme du papier à musique: que si je m'échappe, personne ne s'en rendra compte, que si je ne dit pas les bonnes phrases, ma journée recommencera. En fait j'ai l'impression d'être dans un jour sans fin, de toujours vivre la même journée, toujours et encore.

Mais d'un autre côté, c'est rassurant, tu es dans une bulle, une bulle qui englobe le collège, la maison, l'arrêt de bus et la boulangerie. Un bulle dans laqu'elle il y aurait environ 900 personnes. Et donc on sait qu'il ne va rien nous arriver: c'est pas dans le scénario! Il n'y a pas de surprises, ça enlève le piquant, mais garantie que tout va bien se passer.

Et puis on pète un cable: on change les règles du jeux. Ce n'est pas bien grave des fois: on se prend un mot dans le carnet pour bavardage. D'autre fois on joues dans une autre cours: des exclusion en veux-tu en voulas....

Tout ça pour dire que nos vies sont monotones: nos rôles étant pré-défini, ça ne laisse aucune place à l'improvisation.

 

Pardon d'avoir écrit une tartine. Vraiment.

 





28/04/2012
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